La Section Enduro à Prades (66)

Allez les bleus,

Le géant catalan : Le Mont Canigou.

En ce samedi veille de finale à XV un membre de  « la section enduro » décide de dérouiller ses crampons sur sa terre natale c est à dire en Catalogne. Plus exactement à la sous préfecture des PO, théâtre futur de la finale de l enduro régional le 06 novembre 2011. Rouler seul !!!! non….pas du tout, cela n est pas mon trip…. J enfourche mon fidèle destrier de SCRATCH en compagnie des ASKIL  BOY S et de LoLo, l éclairagiste officiel de VTT CAPES pour les virées nocturnes…

Journée placée sous le signe du soleil (avec 1° au départ quand même…) dans le ciel, dans les salades et dans les verres….

Place à Christophe plus connu sous le sobriquet de Mendes mais aujourd hui ce fut du GRAND MENDES. Au fait pourquoi Mendès, parce que ci dessous :

http://du-grand-mendez

E.PO et son idole : Le GRAND Mendes.

Merci les Gars et refaire……

A toi l artiste :

Prades for ever.

En ce Samedi 22 Octobre de l’an de grâce 2011, les Askils ont décider d’aller dans les P.O faire la reco de l’enduro de Prades.

RDV était pris à 6H45 à la sortie de l’autoroute Béziers ouest pour un covoiturage .

7H toujours pas de Coach, puis coup de téléphone, il était au niveau de la gare, il devait penser qu’on allait prendre le train où attendait t’il un texto de DJ Abdel, aller savoir, apparemment la nuit a été courte, on lui pardonnera, il a une femme jeune.

Le Coach enfin arrivé, on charge la remorque avec les 5 vélos des force en présence (le Coach ,Cochignole, Laurent, EPO et moi même) direction Prades où nous attendait les Catalans.

Le voyage a été animer de propos croustillants (que je passerai sous silence) sur le koh lanta de la veille, enfin comme dab des vanilles à tour de bras.

La pression monte...départ SP 1.

Le temps de charger le DH dans la voiture de Steph, la seule au monde à avoir un haillon arrière qui s’ouvre avec un vérin hydraulique en bois (si, si, ça existe) et nous voila parti au départ de la première spéciale.

Là, dépôt de tout le monde et retour d’un véhicule à prades pendant que Cochignole changeait ces plaquette de freins, faisait une vidange de sa fourche et de son amorto, changeait les pneus, tendait ses rayons et encore j’en oublie.(c’est ça un pro).

Après le retour de nos deux chauffeurs, nous entamons le première montée assez souple avec un superbe paysage qui faisait penser au massif du Sidobre, un entrée en matière fort sympathique .

Et enfin nous voilà au départ de la première spéciale, je laisse passer les agités du bocal et me met dans la roue du jeune descendeur (sa roue arrière n’a pas souvent toucher le sol), du ludique ultra rapide avec deux passages un peu plus compliqués, enfin arrivée au bas sans réelle difficulté.

Deuxième montée, (qu’on appellera les portes du paradis) plus gaillarde avec deux coup de pétard (nous on en a entendu trois, deux coup de fusils et une chambre à air de DH explosée). Enfin une liaison pas facile avec un tournicoti dans la pampa pour les nains.(plus de 1m50 s’abstenir).

Départ de la deuxième spéciale, très changeante, un début sur les crêtes très rapide avec de beaux virages , quelques petits gaps, une suite un peu plus technique avec un muret en forme d’éboulis et une dernière partie avec des épingles très joueuses pas facile à négocier.

El profesor.

Troisième liaison , n’ayons pas peur des mots , une horreur, un sentier au départ très raide, la moitié à pied le reste en vélo, puis la piste digne du salaire de la peur, une montée interminable sous une chaleur étouffante où on s’arrêtait tout les 500 m pour enlever une couche, il manquait que les vautours au dessus pour que le tableau soit complet.

Arrivée enfin en haut (Ouf), on fait une petite pause pour une pub Monster avec une hôtesse plus que défraichie (voir photos) et on repart par une petite descente jusqu à un hameau au départ de la troisième spéciale surnommée Orangina (décidément les sodas sont à l’honneur).

Spéciale au départ dans un goulet avec pas mal de cailloux qui secouent (d’où le surnom) la suite beaucoup plus rapide avec le vide à droite qui a tendance a attirer le bike et son pilote (gaffe au jour de l’enduro).

Avant dernière liaison 800 m tout à pied un sentier super raide où notre Cochignole mère Thérésa toujours égal à lui même (le cœur sur la main à l’écoute de son prochain) a aider tout le long le pauvre EPO (que son entorse de la Molina faisait souffrir) à porter son vélo.(ne change rien Charly c’est comme ça qu’on t’aime).

Avant le départ de la quatrième spéciale on a croiser des Audois (que Laurent connaissait, celui-là il finira président, que dis-je ministre) ils faisaient comme nous, une reco, mais eux avait la chance d’avoir une fille dans leur rang pour faire descendre le niveau de testostérone.

Spéciale quatre, très joueuse avec un saut de rocher et une fin très pentu à travers les arbres où il vaut mieux avoir les yeux en face des trous.

Passage devant le lycée de Prades pour une ultime montée où on à rejoins les Audois pour leurs montrer la dernière spéciale.

Cinquième et dernière spéciale très courte type Bike Park avec un premier saut de muret en travers où certains (dont je tairais les noms) la fatigue aidant ont bucheronnée grave, suivi d’un deuxième saut de muret (plus haut celui-là) et d’une fin dans un éboulis au trajectoire plus qu’incertaine, il est temps que ça s’arrête le corps ne suit plus.

C’est la fin, retour aux voitures au lycée de Prades où on à fait honneur à la bière Catalane et aux cacahuète grillées la veille (Merci Steph), on a ensuite vider deux quilles de rouge autour d’une table dresser à l’improviste sur un chantier de TP par Cochignole, avec un regard prefa, une palette et des agglos, Valérie Damidot (D&Co) n’a qu’a bien ce tenir, et en plus il a encore trouver moyen d’aider son prochain en réparant le vélo d’un petit qui avait coincer sa roue, Saint Cochignole, tu a manquer ta vocation.(boire du vin et aider son prochain tu sait où ça mène !).

En tout cas on a passé une excellente journée, un grand merci à Steph et à Baptiste pour nous avoir guidé (ce jeune il a un sacré courage pour s’être taper toutes ces montée avec son DH), on espère de tout cœur vous voir chez nous pour rider.

Un grand merci aussi au Coach qui a encore une fois de plus pris sa voiture et sa remorque pour nous permettre d’assouvir notre passion.

Et comme disait Jacquot : « les P.O c’est loin mais c’est beau »…« je disais c’est loin mais c’est beau »

Et pour finir à tous « Salut i Força al Canut »

Mendes

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